Shows and movies that attempt to lift up marginalized communities without thinking about intersectionality are only perpetuating different systems of prejudice and oppression.
représentativité | representation
Femmes noires au cinéma : aller « au-delà des histoires d’immigration, de gangs et de prostitution »
Lorsqu’ils ne sont pas invisibles, les personnages noirs sont stéréotypés. L’actrice remarque que beaucoup de castings sont « soit un rôle secondaire, on le voit peu et on va mettre une personne de couleur mais dont l’origine a très peu d’importance, soit tu es un gangster, un immigré, une prostituée, une aide-soignante ». En France, la plupart des rôles pour les acteurs et actrices noir·es se passent en milieu urbain. En Belgique, les rôles tournent souvent autour de l’immigration et la prostitution décrit Priscilla Adade. Djia Mambu cite le film “Black” d’Adil El Arbi et Bilall Fallah, comme l’un des seuls long-métrages belges avec plusieurs rôles principaux de femmes de couleur. « Il y a un personnage ou deux de femmes noires, mais là aussi ça concerne des luttes entre communautés ethniques ».
Déjà bien connue pour ses participations aux émissions d’ICI Première et pour ses chroniques Parole autochtone, présentées depuis 2016 sur Espaces autochtones, Melissa Mollen Dupuis souhaite faire refléter plusieurs facettes de la culture qui est partagée depuis des décennies, mais vécue différemment par les Autochtones et les non-autochtones, peut-on lire dans un communiqué de Radio-Canada.
Les médias modernes ont du mal à représenter correctement les communautés LGBTQ + et LatinX au cinéma et à la télévision. Dans une société de plus en plus diversifiée, comment la représentation authentique de groupes importants pose-t-elle encore des problèmes à la culture pop ?
A McKinsey report that combined previous research and new interviews argues that concrete steps like company bonuses tied to improved representation can lead to change.
When storytellers develop narratives, characters, and worlds that support well-rounded depictions of race, they create standout content that will reach wide audiences and inspire generations of viewers to live and breathe the social harmony for which our society hungers.
The range of Arab stories seen in mainstream media remains narrow — and it’s time to give them a greater voice.
Interrogé sur ce qu’il pense de la faible représentation des personnes issues de la diversité à la télévision québécoise, le comédien laisse entendre qu’il ne se fait pas d’illusions.
« Ce qui est difficile quand on est comme moi un CCiD, c’est d’avoir l’impression qu’avant même que tu aies ouvert la bouche, des gens qui ne te connaissent pas du tout pensent savoir qui tu es. Personne n’aime être mis dans une boîte. » Surtout pas dans une boîte à ce point fourre-tout. « Au Québec, un comédien d’origine polonaise, russe, chinoise, thaïlandaise, africaine est un comédien issu de la diversité. Mais tu ne vas pas me dire que tout ce monde-là est pareil ! »
Corden’s performance is being called the most « insulting » thing about the movie.
Mais où, à la télé québécoise, humilie-t-on ainsi les minorités ? Où les traite-t-on de façon « indigne » ? Quel est ce Québec dont parle Alkhalidey ? De quelle culture québécoise hostile aux autres parle-t-il ? Les livres, les pièces, les films, les séries des vingt dernières années ont donc été une vaste entreprise de dénigrement des minorités culturelles ?
What is authentic storytelling, and how is it achieved? Who gets to tell what stories and why? Isn’t all writing about the expression of shared humanity and therefore open to all? Yes. But also, no.