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authenticité & représentativité | authenticity & representation

When storytellers develop narratives, characters, and worlds that support well-rounded depictions of race, they create standout content that will reach wide audiences and inspire generations of viewers to live and breathe the social harmony for which our society hungers.

We will now be requiring all applicants to tell us about their connection to the story and to the specific communities of their projects. We are curious to learn about the type of collaboration that will happen between the creative team and the protagonist and are foregrounding questions around authorship and representation in our reviews.

What is authentic storytelling, and how is it achieved? Who gets to tell what stories and why? Isn’t all writing about the expression of shared humanity and therefore open to all? Yes. But also, no.

De nombreux facteurs s’opposent à cette recherche d’authenticité, dont la dimension commerciale du cinéma qui conduit souvent à des compromis car il s’agit de divertir et de rendre les cultures autochtones accessibles à un marché global. L’idée qu’un film, avec sa durée limitée, puisse représenter fidèlement un peuple ou une culture, est illusoire, et trahit les difficultés et les obstacles qui s’opposent à une représentation authentique dans une œuvre de fiction. La recherche d’authenticité, cependant, est importante pour les autochtones et les cultures minoritaires, car les représentations erronées peuvent supplanter et se substituer à leurs expériences et conditions de vie réelles.

La tercera película de la realizadora argentina Julia Solomonoff es un desgarrado e intimista poema sobre la dificultad de un inmigrante latino por integrarse en los círculos artísticos de Nueva York, al tratar de participar en una película cuyo rodaje se pospone.

Quelle que soit l’origine du film, il s’agit toujours de raconter une histoire ancrée dans une réalité quotidienne, de documenter sur la réalité politique d’un pays et de mobiliser un registre plus universel du symbolique et de l’émotion. Au sein de la commission du fonds, il y a consensus sur les critères de sélection des projets. On attend d’eux d’être « authentiques », c’est-à-dire de faire preuve de clarté, vraisemblance, sincérité, originalité et pertinence dans la présentation d’une réalité sociale, politique et historique d’un pays du « Sud ». Au fond, il s’agit toujours de divertir et cultiver un public du « Nord » qui est celui des festivals internationaux et des salles d’art et essai.

De nationalité française mais appartenant à deux, voire trois minorités (Gitans, Kabyles, Maghrébins), ce « gitan-beur » comme le nomment certains se revendique inclassable, sinon « méditerranéen » mais avant tout déraciné, c’est-à-dire nomade, ouvert à l’Autre et dans la Relation. Ce parti-pris identitaire explique le choix de ses personnages en marge, que ce soit les Roms, les chômeurs, les prostitués, les immigrés, les sans-papiers.

The question of ‘authenticity’ has been at the heart of much critical thinking about African cinema. During the colonial era, cinematic images of Africa effectively served to reinforce the Western vision of the ‘dark continent,’ viewing Africa as a wild and savage place, existing outside of history. When African filmmakers began to emerge in the 1960s and 1970s, they set out to counter these demeaning Western representations of their continent. However, although there was widespread agreement that colonial representations were distorted and ‘inauthentic,’ the definition of an ‘authentic’ African cinema has remained deeply problematic. What should an African film look like? How should it differ from Western cinema?

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