Black Light is a column by Governor General Award-winning writer Amanda Parris that spotlights, champions and challenges art and popular culture that is created by Black people and/or centres Black people.
veille informationnelle
Une vaste sélection de matériels portant sur l’équité et l’inclusion dans le milieu de l’audiovisuel ici et dans le monde.
Figures for European serialised content have been going through the roof in the past years and examples follow one after the other of locally produced content that reaches global audiences, from German Babylon Berlin (2017) to the Luxembourg original Capitani (2019) or the Spanish examples of La Casa de Papel (2017) or Élite (2018).
Cette initiative vise à offrir un accompagnement artistique professionnel aux autrices et auteurs de théâtre professionnel·les·s autochtones (Premières Nations, Métis et Inuit) ou de la diversité, c’est-à-dire issu·e·s d’une communauté culturelle, immigrant·e de 1ère ou de 2e génération, ou faisant partie des minorités visibles.
Shows and movies that attempt to lift up marginalized communities without thinking about intersectionality are only perpetuating different systems of prejudice and oppression.
Alliant patrimoine et technologie, le stop motion insuffle un vent de renouveau à l’art autochtone. Lors de la conférence Productions stop motion autochtones – Voix et images, le 18 septembre dernier, plusieurs membres de l’industrie cinématographique ont discuté du rôle du stop motion dans la représentation de la culture autochtone à l’étranger, ainsi que de leur relation avec ce médium.
Ce n’est un secret pour personne, la survie des émissions dépend de leurs cotes d’écoute. Toutefois, les Canadiennes et Canadiens sont de plus en plus nombreux à penser qu’il faudrait revoir la façon de colliger le nombre de téléspectateurs, mais aussi faire un suivi des productions pour assurer une réelle équité.
Au Québec, on parle beaucoup de l’importance de la diversité à l’écran. Mais si les artistes issus des minorités visibles décrochent de plus en plus de rôles, c’est souvent à condition de s’exprimer avec un accent « québécois ».
Le dernier film du cinéaste Eugène Green est entièrement en basque, un acte culturel fort dans le cinéma d’aujourd’hui. Pour le réalisateur franco-américain défendre les langues régionales c’est aussi une façon de défendre la langue française contre celle des « barbares » : l’anglais.
L’étude examine l’incidence de la COVID-19 sur la quête actuelle pour plus d’équité, de diversité et d’inclusion dans l’industrie de l production cinématographique et télévisuelle canadienne. La pandémie sera-t-elle une entrave aux avancées, ou bien représente-elle là une opportunité pour le personnel de l’industrie à travailler différemment et de manière plus ouverte ? Afin d’étudier ces questions, cette étude se penche sur un aspect des relations professionnelles de l’industrie de la production cinématographique et télévisuelle
au Canada pendant la pandémie : Le risque.
https://www.latimes.com/entertainment-arts/movies/story/2021-09-07/jacqueline-stewart-film-academy-museum-inclusion?
M. Ben Marc Diendéré devient aujourd’hui le 11e président du Conseil des arts de Montréal. Il s’agit d’un moment charnière pour le Conseil puisque M. Diendéré est la première personne noire à occuper ce poste et figure parmi les rares représentant-es de la diversité au sommet d’un organisme de cette envergure au Canada.
Femmes noires au cinéma : aller « au-delà des histoires d’immigration, de gangs et de prostitution »
Lorsqu’ils ne sont pas invisibles, les personnages noirs sont stéréotypés. L’actrice remarque que beaucoup de castings sont « soit un rôle secondaire, on le voit peu et on va mettre une personne de couleur mais dont l’origine a très peu d’importance, soit tu es un gangster, un immigré, une prostituée, une aide-soignante ». En France, la plupart des rôles pour les acteurs et actrices noir·es se passent en milieu urbain. En Belgique, les rôles tournent souvent autour de l’immigration et la prostitution décrit Priscilla Adade. Djia Mambu cite le film “Black” d’Adil El Arbi et Bilall Fallah, comme l’un des seuls long-métrages belges avec plusieurs rôles principaux de femmes de couleur. « Il y a un personnage ou deux de femmes noires, mais là aussi ça concerne des luttes entre communautés ethniques ».